° Une sélection de poèmes de ce recueil a été publiée dans les messages 310 à 330
° Je propose dans les messages 390 à 440 qui suivent une nouvelle sélection qui reprend certains poèmes déjà mis en ligne mais dont l'intérêt me semble important.
° Une présentation de l'ouvrage est également proposée ci-après, extraite de l'ouvrage de François Broche, "Anna de Noailles, un mystère en pleine lumière", pages 378 et 379.
Antonio de la Gandara (1861-1917)
Ritratto della Contessa Anna de Noailles 1909
----------------------------------
Liste des poèmes publiés (ordre décroissant des messages 440 - 390
----------------------------
Puisque je ne peux pas savoir. 440
Quand ce soir tu t'endormiras. 439Matin, j'ai tout aimé et j'ai tout trop aimé. 438
La bonté n'étant pas l'excès. 437
Meurt t'on d'aimer ? On peut le croire. 436
Le courage est ce qui remplace. 435
Les volets, les rideaux, les portes. 434
Le silence répand son vide. 433
Le bonheur d'aimer est si fort. 432
Je ne t'aime pas que pour ton esprit. 431
Je ne puis comparer mon mal. 430
En ton absence, je ne puis. 429
Je me taisais, j'avais fait vœu. 428
Ceux qui, hors du rêve et des transes. 427
Jadis je me sentais unique. 426
Je crois que j'ai du te parler. 425
J'ai perdu l'univers puisque tu me suffis. 424
Fais ce que tu veux désormais. 423
Je n'ai pas écrit par raison. 422
Certes, j'aime ce que je pense. 421
Je bénis le sommeil, lui seul peut déformer. 420
Amis parmi tous les amis. 419
Aucun jour je me suis dit. 418
C'est l'hiver, le ciel semble un toit. 417
Automne pluvieux, mélancolique automne. 416
Tu me donnes enfin la paix. 415
Il est doux d'aimer faiblement. 414
Dans les ténèbres de Vérone. 413
J'ai travesti pour te complaire. 412
En ce moment tu ne sais pas. 411
Vivre, c'est désirer encore. 410
Un triste orgue de barbarie. 409
Enfin la première nuit froide. 408
J'aime d'un amour clandestin. 407
Ô suave ami périssable. 406
Les vers que je t'écris ne sont pas d'Orient. 405
Ce n'est pas une tendre chose. 404
Je ne puis jamais reposer. 403
Faut-il que tu sois juste aussi. 402
C'est d'une adresse humble et savante. 401
L'hiver aux opaques parois. 400
Impérieux mais indolent. 399
Azuré, faible, blessé. 398
A quoi veux-tu songer ?. 397
Ce que je voudrais. 396
Je crois à l'âme. 395
Je n'aime pas que tu me plaises. 394
En vain la peur d'un joug. 393
Il faudra bien pourtant. 392
Crois-moi, ce n'est pas aisément. 391
A présent que je t'ai bien connu. 390