Je n’aime pas que tu me plaises,
Que ton image permanente
Me tente, me trouble, me hante
Ah ! connaître encor d’autres aises
Échapper, adroite hirondelle,
À ton enjôleuse faiblesse !
C’est par ta grâce qui me blesse
Que je pourrais t’être infidèle
Poèmes de l’amour, Fayard, 1924