La Comtesse de Noailles évoque à plusieurs reprises ce lieu dans les poèmes qu'elle a consacrés à Amphion et à Evian, en particulier dans le poème : "Étranger qui viendras", déjà longuement évoqué ou cité dans ce blog :
"Pousse la porte en bois du couvent des Clarisses,
C'est un balsamique relais,
La chapelle se baigne aux liquides délices
De vitraux bleus et violets
Peut-être a-t-on mis là, comme je le souhaite,
Mon cœur qui doit tout à ces lieux,
A ces rives, ces prés qui m'ont faite
Une humaine pareille aux dieux !"