11/03/2012

505. Le verbe d'Anna de Noailles

Source : Gallica. Bibliothèque Nationale de France

" Le verbe d’Anna de Noailles agissait à la façon d’un opium ; ses volutes gagnaient l’esprit de l’auditeur, jusqu’à le mêler profondément à elles ; elle ajoutait au charme de Shéhérazade l’esprit de Ronsard, le génie du chant à celui de la rime, au dire de Cocteau, qui la mettra plus haut que Hugo et Racine. "
Claude Arnaud, citée par Michèle Peretti